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Depuis l’arrêté ministériel du 15 mars dernier visant à suspendre l’activité de nombreuses entreprises, les entrepreneurs bellilois doivent faire face à des difficultés encore alourdies par un problème ancien : le poids des baux commerciaux. En dehors de toute rentrée d’argent, comment nos commerçants règleront-ils la facture aux propriétaires ?
Déjà évoquée dans un article du mois de novembre, la tendance à la hausse du prix des baux commerciaux à Belle-Île montre aujourd’hui ses limites : pour les locataires dont les propriétaires ont fait le choix de loyers qui dépassent couramment les 800 euros pour 30 m2, l’aide de 1500 euros promise par l’Etat aux entrepreneurs qui ont dû fermer leur commerce ne suffira pas.
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