Tous deux d’origine finistérienne, Eliane et Yvon Coïc, aujourd’hui 83 et 85 ans, ont fait partie des rares agriculteurs de leur génération qui ont refusé les engrais et pesticides chimiques. Après avoir promu dès les années 1970 l’idée d’un label bio bellilois, ils prennent aujourd’hui acte de l’engouement général pour les nouvelles pratiques agricoles… mais se gardent bien de crier victoire trop tôt.
En 1949, quand Yvon Coïc arrive à Belle-Île avec sa famille, il a 15 ans, et, comme ses parents originaires de la région de Pont-l’Abbé, il parle mieux le breton que le français.
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