juin 2019

Mobilisés ce samedi 29 juin pour collecter des fonds grâce à la vente d’objets siglés « SNSM », les bénévoles de l’association ressortiront leurs stands en juillet et en août: 13 juillet (aux Grands sables pour la fête nationale), 21 juillet (marché de Bangor), 4 août (fête du port de Sauzon), 15 août (fête de la mer à Palais).

Objets en vente:

-Porte clés lampe ou logo flottant: 2 euros

-Sac en toile de jute: 4,5 euros

-Sac étanche 10 litres noir: 10 euros

-Sac étanche 15 litres noir: 11 euros

-Tasse logo SNSM: 7 euros

-Tasse plastique: 4,5 euros

-Couteau multi-outils: 16,90 euros

-Couteau Opinel: 26 euros

-Flamme SNSM: 11 euros

-Magnet bouée: 4 euros

-Tour de cou avec étui pour portable: 4 euros

-Briquet jetable blanc: 1 euro

-Cordon de lunettes flottant: 5 euros

-Pochette étanche orange: 14 euros

-Stylo 4 couleurs: 1,5 euros

–Leurre Zénith Z-Claw « rescue boat » dessiné par Ultimate fishing: 29 euros

Représentante à Belle-Île de la marque de produits ménagers écologiques H2O at home, Christelle Larvor travaille depuis mars en binôme avec Nathalie Gillen.

Pour ces 2 jeunes femmes certaines que, comme elles, beaucoup de consommateurs sont conscients de la nocivité des produits ménagers classiques, il s’agit de convaincre que leurs lots de chiffonnettes en microfibre japonaise et leurs produits dégraissants sans eau chaude peuvent venir à bout de toutes les taches.

Hier, jeudi 27 juin, les visiteurs du stand installé devant le supermarché Casino auront pu en tous cas constater que pour effacer des marques grasses de rouge à lèvres sur une glace, la chiffonnette de Christelle et Nathalie et de l’eau froide suffisent.

Contact. Nathalie Gillen, au 06.51.34.46.76

www.h2oathome.fr

28/06/2019

La charte « prévention et tri des déchets » élaborée par la CCBI, qui a été signée par environ une trentaine de professionnels l’an dernier, a été renouvélée pour 2019 avec jusqu’à présent une dizaine de volontaires.

« Actuellement, nous faisons des relances pour mobiliser les anciens signataires et en motiver de nouveaux, expose Angèle Mignon, animatrice prévention déchets à la CCBI depuis 2017. La signature est l’occasion d’une rencontre pour faire le point, et pour les nouveaux participants, nous proposons un diagnostic ».

Soutenue depuis le départ par l’auberge de jeunesse et la crêperie La main à la pat’, la charte accorde aux signataires une réduction de 10% de la redevance sur les ordures (REOM) et leur propose un macaron qui signale l’engagement de l’entreprise dans la démarche.

Entreprises déjà signataires pour 2019: camping de Bordénéo, La main à la pat’ (crêperie), colonie OVAL (Bruté), Les légumes de Belle-Île (Joël Clément, maraîcher à Kerspern), Camping Moulin Luc/résidence Le souverain, Driv’in Belle-Île (location de véhicules anciens), Auberge de jeunesse, camping municipal de Bangor, HAPPYness (concept store), Arbres et paysages (élagueurs et paysagistes).

Lundi 17 juin, lors du conseil communautaire, les élus ont voté le changement de statut de l’Office de tourisme: l’association loi de 1901 deviendra un EPIC, dans lequel les élus locaux auront la majorité au sein du comité de direction.

Combattu par le maire de Bangor, Annaïck Huchet, ce projet avait été présenté aux professionnels bellilois lors de l’Assemblée générale extraordinaire du 4 avril dernier, qui avait été houleuse.

Lors du conseil de lundi dernier, Annaïck Huchet a maintenu sa position: « Vu la proximité des élections municipales, je pense que nous devrions laisser aux nouvelles équipes la liberté de faire ce choix ou pas. Je pense que ce calendrier est précipité », a-t-elle insisté avec Joëlle Matelot-Morais.

Promoteur de ce changement, Frédéric Le Gars, maire de Le Palais et président de la CCBI, a présenté un document intitulé Stratégie de développement touristique « Belle-Île-en-mer la bien-nommée » 2019-2024.

Cette trame, dont les points les plus concrets sont pour l’instant la volonté d’étalement de la fréquentation touristique sur l’année et de développer les alternatives à la voiture, sera mise en forme et à nouveau présentée aux élus et à l’office en septembre.

En attendant, le schéma touristique est disponible sur demande: ccbi@ccbi.fr

Lundi 17 juin, une réunion publique intitulée Du grain au pain et visant à informer sur les moyens de développer un circuit local de la farine a eu lieu à Bangor.

Organisé à l’initiative de Jacques Marion, un retraité encore à cheval entre la région parisienne et Belle-Île, l’événement a réuni environ une vingtaine de personnes, un peu moins que lors de la première réunion, non publique celle-là, qui avait eu lieu au printemps avec les professionnels concernés et des élus locaux.

« J’ai travaillé comme ingénieur pour le conseil régional d’Île de France mais mes grands-parents et mon oncle étaient paysans, explique Jacques Marion. J’ai donc toujours eu un intérêt pour le monde agricole, et depuis que j’ai une résidence secondaire ici, je me sens concerné par la vie locale. Mais, pour que les moulins de Belle-Île tournent à nouveau un jour, il faudra une volonté de la population ».

Lundi dernier, plusieurs professionnels avaient fait le déplacement : patrick Largouët, de la crêperie La main à la pat’ (Le Palais), les propriétaires de la boulangerie de l’écluse (Le Palais), Alain Lenoble, de la chambre d’hôtes L’îlot carton (Locmaria), Eloi Portugal et son gendre, de la ferme de Logonet (Sauzon), Maël Aillet, de la ferme de Keroulep (Locmaria).

« Si une association se met en place, en septembre, on sera adhérents, expose Patrick Largouët. Pour l’instant, notre farine est bretonne, mais pour nous, l’idéal, ce serait une farine produite ici ».

Pour en savoir plus sur le projet d’association :

Jacques Marion, Tél : 06.95.45.40.43/ jacques.marion4@free.fr

Patrick Largouët et Noémie Soulier, Tél : 02.97.31.57.70

Depuis le 11 juin, Koupaia Langlois, 15ans, est en stage dans la boutique palantine d’affaires de plage et cocooning Belle ligne en mer.

Habitant Kerdaigre, à Bangor, la jeune fille suit actuellement des études de merchandising visuel au lycée Du Guesclin d’Auray. Une formation qui prépare au métier d’étalagiste, d’architecte d’intérieur, et de scénographe.

« Je suis en seconde professionnelle, et l’an prochain je passerai mon BEP, détaille-t-elle. Ensuite, j’enchaînerai avec un bac pro et peut-être avec une école de cinéma, pour me spécialiser dans les décors, ou avec une école de design. En fait, mon cursus touche à tout ce qui est mise en valeur des produits et des espaces ».

Attirée par la créativité manuelle depuis petite, lors de ses premiers choix d’orientation, Koupaia Langlois était déjà bien décidée à opter pour une filière en relation avec l’art. Ne manquait plus qu’un coup de pouce à l’aiguillage : « Les conseillers du collège m’ont dirigée vers ce que je fais maintenant et je ne regrette pas de les avoir écoutés ! »

Chez Belle ligne en mer, où elle restera jusqu’au 5 juillet, Koupaia langlois a déjà pu créer un espace plage, un pôle pique-nique, réorganiser les vitrines… et guette toujours l’occasion de faire ce qu’elle préfère : fabriquer de ses mains et de toutes pièces des décors.

Pour tout renseignement sur le cursus de merchandising visuel : koupaia.langlois@gmail.com

Koupaia Langlois participera à la coopérative jeunesse de Belle-Île, du 8 juillet au 25 août (cjsbelleile@gmail.com, Tél. 0627724718).

Fin mai, 31 Bellilois, dont 4 enfants, ont participé à des tests urinaires organisés dans le cadre de la campagne nationale Glyphosate BZH intitulée « pisseurs involontaires de glyphosate ».

Tombés le week-end dernier, les résultats révèlent que parmi les participants, les taux de présence de cet herbicide varient de 0,3 microgrammes au litre à 2,74 microgrammes au litre, soit jusqu’à 27 fois le seuil autorisé.

Pour plus d’information: https://pig.log.bzh/

Hier, lundi 17 juin, l’architecte Mathias Rossier a assisté au conseil communautaire pour prendre connaissance de la liste des élus qui feront partie de la commission d’appel d’offre pour l’attribution du contrat pour la rénovation du complexe sportif du gouerch, à Palais.

La tenue du conseil coïncidait avec la clôture, à la même date, du délai pour rendre sa candidature pour pouvoir être sélectionné parmi les 3 candidats qui seront retenus pour concourir.

« Pour préparer une proposition, je me suis associé à Kévin Velghe, qui est un architecte parisien qui connaît bien Belle-Île, notamment pour avoir rénové, tout récemment, l’hôtel du Phare. Une de nos spécificités sera l’utilisation du bois et l’accent mis sur la consommation d’énergie du bâtiment, qui devra être passive, avec des coûts de fonctionnement et d’entretien a minima ».

D’un montant de 5 millions d’euros hors taxe, le projet de rénovation du Gouerch porte sur la démolition et reconstruction de la salle omnisports.

Dans un 2e temps, un nouvel appel d’offre sera lancé pour l’aménagement d’un second terrain de football avec tribune, la création d’un local à vélos et la construction d’une salle de danse et d’activités gymniques.

Le nom des 3 candidats retenus pour concourir pour le premier appel d’offre sera connu en juillet.

Composition de la commission d’appel d’offre décidée le lundi 17 juin:

-Membres titulaires: Jacky Lemaire, Hervé Michet de la Baume, Marie-Pierre Gallen, Marie-Christine Perruchot, Annaïck Huchet.

-Membres suppléants: Marie-Françoise Leblanc, Corinne Toulme, Isabelle Villatte, Joëlle Matelot-Morais, Jean-Luc Guennec.