Après avoir travaillé plusieurs saisons comme esthéticienne à la thalassothérapie du Castel Clara, Marjorie Robert a ouvert son salon de beauté, « l’Institut », en 2004 à Palais. Depuis, elle a pu constater que, malgré l’offre de plus en plus grande de produits pour des soins maison, la clientèle n’est pas près de renoncer aux services d’une professionnelle.
Sa vocation d’esthéticienne, on pourrait presque dire que Marjorie Robert l’a eue sur le tard, dans une profession où en général on commence sa formation par un CAP, dès l’adolescence. Dans le cas de notre belliloise d’adoption, arrivée sur le caillou alors qu’elle avait 15 ans, il aura fallu prendre le temps de la réflexion, pendant un 1 an, après un bac général décroché à Vannes.
« Après mon bac, j’ai travaillé à droite à gauche, se souvient-elle. Puis, j’ai eu l’idée de faire un BTS esthétique-cosmétique à Paris, car mon père pouvait me loger tout près ». Un cursus qui normalement prépare plutôt les étudiantes à devenir représentantes de marques et aux aspects commerciaux du métier.
Contenu (€) réservé aux abonnés !
Abonnez-vous et/ou connectez-vous pour accéder à ce contenu !
Contenu (€) réservé aux abonnés !
Abonnez-vous et/ou connectez-vous pour accéder à ce contenu !